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    ZEÏLIA D'ÉMERAUDE — RÉDACTRICE & ORGANISATRICE


    Nom: Marie-Pier

    Âge: 17 ans

    Viens de: Plateau Mont-Royal, Montréal, Québec, Canada! 

    Habite à: Lachine, Montréal, Québec, Canada!!

    Sur rpg-Chevalier depuis: Je suis sur le forum depuis maintenant trois ans et demi, en fait, je me suis inscrite sous un autre pseudo (Analéha) le 31 juillet 2007, alors que le forum n'avait que 2 semaines, on peut donc affirmer que je suis une ancienne du forum!

    Sur le forum parce que: J'adore tout simplement écrire, c'est devenue une passion je crois. Aussi, je ne serais pas capable de perdre contact avec les membres merveilleux et tout simplement fantastiques du forum, ça serait dommage et triste. Puisque ce sont tous des amis qui me sont chers!

    Personnages: Zeïlia et Emi, qui est la fille de Zeïlia. Cependant, j'ai eu par le passé bon nombre de personnages, je vais essayer de tous les nommer, mais je vais probablement en oublier quelques uns! Analéha, Mayami, Rumil, Kalien, Zeïlia puis Emi! Une belle petite gang, héhé!

    Aime: Trop de choses! Manger, les animaux, surtout les chevaux, l'INFOFO, mon chum, ma famille, mes amis, le forum, l'écriture, la lecture, le dessin, la musique, certains jeux vidéos, le cinéma, le bowling (Ouais!), les bonbons, les gens heureux, les gens qui sont drôles, encore plein d'autres choses, mais c'étaient les essentielles, je crois! :)

    N'aime pas: Encore plein de choses! Les tomates, les sushis, les gens qui torturent les animaux, les gens qui torturent d'autres gens, les champignons cuits, l'anglais, les numéros de téléphone, les gens qui reniflent pendant les cours, les professeurs qui se prennent pour plus intelligents qu'ils ne le sont vraiment, les gens qui croient tout savoir, les blagues au téléphones et encore d'autres choses plus inutiles les unes que les autres!

     Ma vie en quelques lignes:  Je suis née, je vis et je vais mourir? Haha! Non. Okaay. Donc, je suis née à Montréal, le 10 novembre de l'année 1993. Mes parents m'ont nommée Marie-Pier. J'ai déménagé à 7 mois à Lachine où je vis depuis ce moment-là, dans la belle maison, enfin, appartement qui me sert de chôme. À 5 ans, je suis entrée à la maternelle de l'école de mon quartier, je me suis faite plein d'amis gentils! Je devint première de classe assez rapidement et en 3eme année de primaire, à 9 ans, je fut diagnostiquée diabétique. J'ai passé une semaine à l'hôpital où l'on m'a apprit à accepter d'être malade jusqu'à la fin de mes jours (Ça ne fut pas très difficile disons!). À 12 ans, j'ai quitté le primaire pour l'école secondaire, le Collège Saint-Louis, un gentil petit PEI. À l'été entre ma 1ere et 2eme année, je me suis inscrite sur ce forum (Mon tout premier forum rpg) grâce à mon cousin qui n'en avait vanté les mérites. En 3eme secondaire, j'ai changé de pavillon, je suis maintenant au pavillon LaSalle où je termine ma 5eme secondaire! Je vous jure, le gros rush, pourtant, je prends le temps de m'occuper de l'INFOFO, petite activité qui m'amuse beaucoup! :D


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    ANCIENS MEMBRES:
     

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    LES HÉRITIERS D'ENKIDIEV — TOME II

    Certaines personnes m’ont accusé de simplement débuté la lecture de ses livres en voulant les détesté, que je me forge d’avance une opinion médiocre des livres que je lis. Je réfute toutes ces déclarations calomnieuses avec un seul argument : Je suis cheap. Terriblement, terriblement cheap. Je ne dépenserai donc logiquement pas de l’argent pour quelque chose que je sais détester d’avance ! C’est simplement de la folie, ça. Il est vrai que j’ai acheté une grande quantité de film visiblement mauvais simplement par leurs titres comme L’Attaque des Hommes-Tentacules ! ou Bruce Lee vs. Gay Power ou bien, un de mes préféré, Killer Klowns From Outer Space, mais, contrairement à l’univers des livres, qui demandent plusieurs heures de sacrifiées, les films ne durent que deux heures maximum et, de toute manière, il y a un genre de divertissement à être trouvé dans des films aussi mauvais, ne serait-ce que pour en rire. Malheureusement, l’idée de l’acheté « Juste pour en rire » ne fonctionne pas aussi bien dans le monde écrit. Lorsque j’achète un roman de fantaisie, je m’attends à être pleinement distrait et que ça en vaille les vingt dollars. Alors, contrairement à ce que plusieurs pensent, je donne bel et bien une chance aux livres que je lis et ce n’est pas parce que le premier tome d’une quelconque série est médiocre que le reste le sera aussi. 

    Je ne peux, par contre, pas mentir sur mon opinion. Je dis ce que je pense et je pense ce que je dis, c’est un concept mythique relativement perdu de nos jours qui s’appelle « l’honnêteté ». Drôle de mot, hein ? Qui se préoccupe des sentiments des autres, franchement. Vous préférez vivre dans un monde de mensonges plutôt que de savoir ce que les gens pensent vraiment de vous ? Si je croisais Miss Robillard dans la rue, je lui dirais ce que je pense de ses livres. « J’ai beaucoup aimé la série des Chevaliers d’Émeraude ! Très fabuleux…Ah, mais la suite est terrible. Oh boy, teeeeellement mauvais ! À quoi vous pensiez. Enfin, j’peux avoir un autographe ? ». Le fait est : Les Héritiers d’Enkidiev tome 2, Nouveau Monde, est mauvais. Très mauvais. Mais, encore une fois pour aller dans le sens de cette technique perdue qu’est le non-mensonge, il est de loin moins pathétique que la premier tome, ce qui est peu dire, puisque ce n’est pas vraiment compliqué de surpassé « ça ». En fait, il y a même un (1) personnage que j’aime beaucoup, pour l’instant, et une (1) scène qui m’a impliquée émotionnellement parlant. Sur plus de trois-cents pages et considérant que ledit personnage intéressant n’est pas présent dans plus de 30 de ses pages, ça nous laisse quand même avec un livre affreusement long et ennuyant. 
    Maintenant, pour bien illustrez à quel point le livre et l’histoire en générale sont insatisfaisants. Donc MASSIVE EXTRA SPOILER ALERT si vous songez à sérieusement lire ce livre et pensé réellement obtenir un quelconque plaisir de cela, cessez de lire ou continuer à vos risques et périls. Alors, notre histoire commence là où nous a laissé cette autre abomination aux proportions épiques qu’est le premier tome, c’est-à-dire lorsque nos protagonistes, désireux de sauver la vie d’un des seul personnage intéressant du livre, le Roi Onyx, qui est tombé terriblement malade d’une maladie inconnue, partent tous ensembles vers les territoires inconnues au-delà des terrifiants volcans, par la mer. Ces intrépides héros inclus Hadrian, vieil ami d’Onyx, Kira, la princesse sans royaume qui n’a pas vraiment de raison de vouloir sauver Onyx, spécialement considérant que celui-ci a déjà couché avec elle en prenant possession de son mari, Wellan, le jeune fils de Kira qui est réellement la réincarnation du héros de guerre Wellan mort bêtement, tuer par un fantassin, pour pouvoir aller tuer l’infâme Akuretari dans le ciel ; Atlance, fils d’Onyx, désireux de prouver sa valeur à son cher père mourrant. Ils sont aussi accompagnés d’un nombre moyen d’autres personnages plus ou moins importants que je me plaît à appeler « La joyeuse troupe des figurants ». En effet, excepté pour les personnages que je viens de nommer, tous les autres ne servent presque à rien. Jenifael est présente et est maintenant en couple avec Hadrian, depuis que sa mère, la très sadique Théandreas, a éradiquer toutes émotions que l’ancien roi d’Argent avait pour n’importe quel autre femme de l’existence. Que c’est romantique. Avant de continuer, j’aimerais bien adresser cet union : Il s’agit là du couple le plus forcé, le plus dégoûtant et le plus tragique que j’ai vu depuis très longtemps. C’est pire que le viole, c’est de l’esclavage ! Hadrian n’a aucun choix, ici, il n’a plus de sentiments pour d’autres femmes, il est forcé. L’amour forcé est un viole. Sommes-nous sensé aimer les scènes où ils se cajolent ? Sommes-nous sensés avoir la gorge serrée devant leurs pâles discussions sur le futur ? Si c’est réellement l’effet que Miss Robillard voulait créer, elle n’y comprend rien à l’amour. Il faut garder ici en tête le contexte de cet « amour » et se rendre compte que Jenifael, ce personnage qu’on devrait tant aimer, est en train d’abuser d’Hadrian. 

    Je répète : Hadrian est FORCÉ ! Rien de romantique là-dedans !

    Donc, passons. Il s’agit donc là du périple long et ennuyeux de nos nombreux héros pour aller quérir une fleur bleue qui, selon une quelconque prêtresse elfe, est nécessaire pour la création du remède. Personnellement, j’aurais recherché un second opinion, ce qui est généralement la chose sensible à faire puisque, on sait jamais, peut-être qu’il existe une autre solution qui n’implique pas de faire un long voyage peut-être mortel vers une partie du monde que personne n’a réellement visité ou cartographié. Mais bon, Hadrian est un imbécile en puissance, alors nous pourrons voir sa stupidité plus tard. La première race peu originale qu’il nous est donné de rencontrer sont les Ipocans, une civilisation de Sirènes! Très inventif, n’est-ce pas ? Les sirènes, c’est du jamais vu. Un fait intéressant est que les sirènes refusent le passage au chevaliers sous prétextes que l’océan entier est leur royaume. Si c’est le cas, pourquoi ne vous a-t-on pas croisé avant, lorsque les chevaliers sont allés, par exemple, sur l’île des lézards ? Encore pire : Si votre royaume est l’océan entier, comme ils le prétendent et qu’eux-même n’ont aucun problème à aller à trois cents kilomètres heure tant et aussi longtemps qu’ils sont sous l’eau (Je confirme), pourquoi avez-vous permis a des douzaines et des douzaines de bateaux de l’Empire de traverser votre océan ? Est-ce que vous vous êtes simplement dit que toute l’eau de l’autre côté des montagnes ne vous concernaient pas vraiment ? Donc, après avoir négocier le passage et avoir été stoppé par un gros poulpe, les chevaliers continuèrent leur route pour finalement accoster et commencer la recherche de ladite fleur bleue et rencontre une jeune sirène nommée Shapal (Miss Robillard est donc officiellement en train de plagier le concept de la petite sirène…Je ne serais pas surpris de voir un homard avec un drôle d’accent se mettre à chanter) qui est pratiquement une gamine ou bien une très, très jeune adolescente, parce que Miss Robillard a l’extrême classe de nous informer qu’elle a un collier de larges coquillages pour cacher ses petits seins. Charmant. Dites-moi, puisqu’elle est une sirène, elle doit passer la majorité de son temps sous l’eau, alors le collier doit flotter presque en tout temps, révélant ainsi ses formes immatures. Ça rend un peu la chose inutile, non ? Enfin, c’est sûrement juste mon esprit pervers qui pense à tout ça. On a un peu de dialogue ennuyant et forcé puis ils se rendent vers les volcans, l’endroit où l’objet de leur recherche est sensé poussé. Voilà une question un peu banale : Si la fleur bleue pousse sur les pentes des volcans, pourquoi ne pousse-t-elle pas de l’autre côté des volcans ? Après tout, il s’agit du même volcan, même géographie, même sol, même lave l’ayant recouvert et donc, mêmes minéraux ayant nourris le sol après l’éruption. Ça n’a aucun sens. Est-ce qu’ils ont même vérifié s’il y avait des fleurs de cette couleur de leur côté des volcans ? Vous n’êtes pas obligés de croire tout ce que dit une prêtresse quelconque de la forêt des elfes, vous savez. Et c’est ici que ça devient très drôle : Hadrian trouve la fleur bleue assez rapidement mais, comble de malheur, il se fait assommer par un maya. Je répète : Hadrian, un chevalier terriblement bien entraîné avec des dizaines d’années d’expérience se fait envoyer dans le monde perturbant de l’inconscience à cause d’un maya avec un bâton. Que c’est rigolo. Ensuite, nos braves héros se laissent faire prisonnier par les mayas ! Voilà une idée : Pourquoi ne pas vous téléporter derrière chaque mayas et les poignardés ? Je sais que les chevaliers combattent avec honneur, mais, selon moi, l’honneur est optionnel contre quelqu’un qui a assommer un homme de dos et penché ! Donc, les chevaliers se font mener dans la ville de sauvages et c’est ici qu’on voit un peu plus du manque d’originalité de Miss Robillard : Ce sont pratiquement juste des mayas. Ils vivent dans de gros buildings de pierre. Ils sont des génies des mathématiques et ils se sont fait des dizaines de calendriers grâce à leur connaissance des étoiles. Tiens donc, ça ressemble beaucoup à une certaine civilisation de la vraie vie, hmmm ? Oh, quelle originalité, Miss Robillard. Vous continuez de me surprendre. Est-ce que eux aussi on un calendrier bidon prévoyant la fin du monde mais pas la fin de leur propre civilisation? Enfin, la petite sirène se pointe et fait croire aux mayas que les chevaliers sont des dieux, tout comme elle-même et les autres sirènes. Les chevaliers n’ont aucun problème à les convaincre en leur faisant une simple démonstration de leurs pouvoirs. Eh bien ! Peut-être que cela aurait été une bonne idée de le faire avant, n’est-ce pas ?! C’est ici qu’apparaît un autre problème : Les mayas les croient. Cette civilisation supposément extrêmement supérieure croit immédiatement que des hommes qui leurs ressembles, qui ne parlent pas leurs langues et qui les ont gentiment suivis sous la menace de bâtons avec une roche pointue au bout sont des dieux ! Encore pire, une fois qu’Hadrian se réveille de sa moitié de coma, ils sont tout de même capable de convaincre les mayas que l’ami d’Onyx est un dieu ! Oh, il doit être un de ces fameux dieux qu’on peut prendre de surprise et assommer avec des armes blanches. Comment doit se sentir le gars qui l’a assommé, vous croyez ? « Wow, j’ai assommé un dieu…Je suis tellement génial ! » Est-ce que VOUS vénèreriez quelqu’un que vous êtes capable de mettre à terre avec un coup de poing bien placé ? Personnellement, s’il me disait être un dieu, je rirais un bon coup et je commettrais un déicide (Acte de tuer un dieu, pour les incultes) Sérieusement, les mayas sont des génies, mais ils croient qu’un gars qui passe trois jours inconscient à cause d’une bosse sur la tête est un dieu ? Les mayas sont assez cons…

    Donc, après avoir convaincu les mayas qu’ils étaient d’origine divine et qu’Hadrian se soit réveillé, ce dernier a droit à une audience avec le prince, ce qui n’est pas donner à tout le monde. Le prince lui explique qu’ils ont été attaqués parce qu’ils essayaient exactement de cueillir cette fleur qui, selon leur croyance, pousse sur le dos du dieu-jaguar qu’ils vénèrent. Voici un autre point : Si les mayas vénèrent un jaguar/panthère/gros chat avec des griffes, pourquoi est-ce qu’ils gobent si facilement que ces gens sont des dieux ? Pourquoi croient-ils que des êtres vivants sous l’eau (Un peu le contraire des jaguar) sont des dieux ? Aucun d’entre eux ne ressemble même un peu à un jaguar ou quoi que ce soit se rapportant à ces félins. Pourquoi ne seraient-ils pas simplement vus comme des abominations devant être sacrifiées au dieu ? Pourquoi accepter sans remord ce qu’une gamine aux petits seins qui vit dans l’eau vient leur dire ? Enfin, le prince dit à Hadrian qu’il peut cueillir la fleur à la condition qu’il puisse rencontrer Onyx, l’homme qui fait l’objet des efforts divins du groupe, lorsqu’il sera guérit. Le prince se fiche apparemment complètement de l’origine divine de ses invités : quel genre d’imbécile complet donnerait des conditions à un dieu ? Si Hadrian avait plus que trois neurones et si les deux-tiers de ses neurones n’étaient pas défectueux, il dirait « Vous savez quoi ? Je crois que je vais prendre cet étalement de pétales bleus juché sur une tige et ne rien faire de ce que vous voulez, ô mon prince, sinon, je vais aller en parler à mon ami Solis le dieu panthère et il viendra vous en donner des nouvelles, compris ? » D’ailleurs, pourquoi le prince a-t-il ce rang ? Il a un fils et il représente la plus haute autorité, alors ne devrait-il pas être roi ? Oh, peut-être que vous vous demandez comment les mayas et les chevaliers communiquent, puisqu’ils ne parlent pas la même langue ? Eh bien, comble du bonheur : L’homme qui a frappé Hadrian parle leur langue. Pourquoi ? Parce que sa femme, une quelconque dame qui s’est étrangement retrouvé de l’autre côté de volcans, lui a apprise. Ça, c’est un phénomène qu’on appelle Deus Ex Machina, c’est où un évènement ou une personne vient régler la situation au dernier moment. Ce gars-là est un Deus Ex Machina. Hadrian, n’agissant pas du tout comme un dieu, demande au prince comment il va apaiser la supposée colère de la divinité-panthère et le prince répond avec un quelconque ennuie qu’il va simplement sacrifié une douzaines d’esclaves. Hadrian, noble chevalier et homme de justice, le laisse faire. Quel magnifique personnage nous avons ici, mesdames et messieurs, quelqu’un qui laisse des innocents mourir en échange de son ami qui est un roi raciste. C’est assez, comment dire, égoïste. Mais passons. Après avoir cueillis la couronne colorée de pétales et l’avoir finalement ramenée à la forêt des elfes, la prêtresse prépare la potion et les chevaliers la ramène à Onyx qui la boit avec contentement. Le livre devient encore plus ennuyeux pendant un moment jusqu’à ce qu’Onyx aille mieux, où l’ennui reprend ses proportions normales.

    C’est alors qu’Onyx devient bleu. 

    Ouais, la peau d’Onyx devient bleue. C’est si loin d’être drôle que le mieux que j’ai fait, devant cette nouvelle, c’est un prétentieux roulement des yeux. Cela crée quelques situations que Miss Robillard voulait sûrement comiques, mais, personnellement, je ne pouvais que ricaner à la stupidité des scènes. Par exemple, Onyx fait venir Katil et Mali pour juger son cas. Je peux comprendre Katil parce que, dans le premier tome, elle est devenue une magicienne (Malgré le fait que tous les chevaliers le soient, vraiment) mais pourquoi Mali ? Ce n’est qu’une fausse prêtresse qui vénère une femme mauve que tout le monde sait ne pas être une déesse (Bien qu’elle ait des origines divines), qu’est-ce qu’elle y connaît en magie/potions/changements étranges de la couleur de la peau ? En fait, à quoi sert Mali, autrement qu’un amour forcé et inintéressant avec Liam, un personnage plaisant mais qui ne fait presque rien dans le livre ? Les deux jeunes filles, après s’être moqué d’Onyx (Ce qui, dans un vrai monde médiéval, résulterait en une bonne vieille pendaison) reprennent leur sérieux et informent Onyx qu’elles n’ont aucune idée de comment redonner à sa peau sa couleur d’origine. Eh bien, votre présence étaient nécessaires, mesdames ! Vraiment, cette scène était si nécessaire. Hadrian décide de retourner voir la prêtresse elfe pour en savoir plus sur cette potion et déterminer si ce changement de pigmentation est un symptôme naturel. À son arrivé, la prêtresse n’essaie même pas de cacher son implication dans tout ça et se mets simplement à ricaner en souriant. Quelle actrice. Elle révèle que c’était dans ses plans que de changer le roi de couleur, pour qu’il puisse goûter à l’horreur du racisme qu’il pratiquait lui-même ! Vous vous rendez compte à quel point ce plan est con ? Elle voulait qu’Onyx arrête d’être raciste, malgré le fait qu’il n’est pas vraiment raciste, en le rendant bleu. Ça n’a tellement pas de sens ! En quoi cela changerait-il Onyx ? Il est raciste, pas couleur-de-peau-iste ; même s’il est bleu, Onyx reste un humain, il sait qu’il est humain et tout le monde sait qu’il est humain. Le racisme est à propos d’une race ! Une RACE ! Être bleu ne changera rien à Onyx, autrement que le fait de légèrement l’énervé. Si elle voulait qu’il change à ce point, elle aurait simplement pu attendre qu’il meurt de sa maladie, non ? Certains pourront prétendre « Eh bien, elle ne voulait pas tuer Onyx, seulement lui donner une bonne leçon. » mais elle a envoyer un groupe de jeunes personnes qui avaient encore une vie devant eux sur un continent potentiellement très mortellement dangereux, ce qui prouve qu’elle n’en a rien à foutre de la vie des autres. Laisse Onyx mourir et le problème est régler, non ? Mais, vraiment, ce n’est pas tant la stupidité incroyable de son plan qui me fait tellement rire, mais plutôt le fait qu’elle s’attendait vraiment à ce qu’il fonctionne : Pour elle, c’était un plan infaillible. De toute manière, Danalieth apparaît en lui disant d’aller dans son coin et de ne jamais revenir dans l’histoire, ce qui est probablement ce qui va arriver, et elle repart dans sa forêt, n’ayant rien accomplis du tout. 

    Vous vous souvenez quand je disais qu’il fallait que nous, lecteurs, nous posions la question « Est-ce nécessaire ? » Est-ce que toute cette charade était vraiment utile ? Cela a poussé nos héros à aller sur l’autre partie du continent, Enlilkisar, c’est vrai, mais Jenifeal et Wellan avaient déjà exprimé l’envie de devenir explorateur après la grande guerre contre les insectes, alors une telle aventure aurait probablement eu lieu de toute manière, découvrant tous les personnages très stéréotypés que nous avons découvert ici. Je donne donc à l’intrigue de la fleur bleue le sceau officiel de la stupidité et de l’inutilité. Bravo ! Enfin, après avoir obtenu le vrai remède de l’elfe, que je suppose qu’elle avait depuis le début, il le donne à Onyx et celui-ci retrouve sa vraie couleur. Ils décident donc de retourner chez les mayas pour qu’Onyx rencontre leur prince, comme promis, et qu’ils puissent ainsi libérer Atlance, qui est rester là-bas comme otage, pour s’assurer du retour d’Onyx. Malheureusement, lorsqu’ils arrivent, le peuple maya a été attaqué et vaguement détruit par de méchants mayas ! Vous savez, plus méchants que ceux qui font des sacrifices humains de douzaines d’innocents pour un dieu qu’ils n’ont pas vraiment de preuve d’exister. Encore plus malheureusement, Atlance fait partit des kidnapper. Quel dommage. Évidemment, Onyx décide d’aller secourir son fils ainsi que celui du prince qui a aussi été enlevé du même coup. Là-bas, on rencontre une moitié d’antagoniste qui ne fera pas long feu qui est la reine des méchants-mayas. Son nom est trop compliqué, alors je ne l’ai pas retenu, mais ce n’est pas grave, parce que, comme j’ai dit, elle ne fera pas long feu. Parlant d’antagoniste, j’aimerais aborder ce sujet : Bien que des méchants d’une certaine décence seront fournis plus tard dans l’aventure, pour la grande majorité du livre, nous n’avons personne à craindre, aucune présence malsaine ou simplement opposante pour rendre l’histoire intéressante. Amecareth, l’Empereur Noir, n’était peut-être rien d’autre qu’un gros insecte avec des pouvoirs et un joli titre, mais, au moins, il était un brin menaçant. Lorsqu’il arrivait sur Enkidiev, on savait que quelque chose de mal allait arriver et il faisait réellement des actes mauvais, comme lorsqu’il a détruit la tour des élèves, en tuant plusieurs du même coup. Nous n’avons rien de tel de la part de la reine des méchants-mayas. Le meilleur truc de cette dernière, c’est une bague empoisonnée qu’elle utilise pour capturer les gens. Oulala. J’ai peur. Eh oui, apparemment, les méchants-mayas sont des experts dans les divers drogues et poisons et n’ont aucun honneur ou scrupule (Ce qui en fait des ennemis bien peu intéressants ou originaux) alors, à de nombreuses reprises, cette folle de reine maya fourre sa bague dans le dos de quelqu’un qui pourrait la faire exploser en bougeant un peu la main, comme Onyx. Justement, Onyx se fait lui aussi capturer, comme tous les autres, d’ailleurs, parce que la reine le prend pour quelqu’un qui lui ressemble apparemment trait pour trait, excepter pour un petit détail : La personne à qui la reine pense a des ailes ! Quelle idiote...

    Et c’est ainsi que l’on rencontre le personnage le plus cool, intéressant et réaliste du livre : Azcatchi. Un nom horrible, certes, mais une personnalité puissante et vigoureuse, digne d’un protagoniste plus intéressant que ce qu’on nous offre dans ce livre. Cela présente une comique ironie, puisqu’Azcatchi est sensé être un méchant. Pour comprendre, voici la situation : Il est révélé que les deux divinités d’origines, que j’ai surnommé Le Duo des Noms Imprononçables, ont eu tout d’abord trois enfants, soit l’ennuyeux Parandar, la terriblement cruelle Theandras et le p’tit dernier d’Akuretari, tous des lézards. Ensuite, ils eurent un fils qui fut un oiseau, nommé Lycaon. Déterminé à continuer la création d’enfants bâtards très effrayants, ils eurent un autre enfant, une fille, cette fois-ci, plus présicément une panthère femelle. Définitivement écoeuré par ce que leurs propres gênes créaient, ils décidèrent de laisser leurs enfants là pour aller créer d’autres univers/planètes/mondes. Quels bons parents, hmm ? Lycaon est, théoriquement, notre nouvel antagoniste principal, mais il est aussi ennuyeux que Parandar, donc très négligeable. Le panthéon des oiseaux, dont Azcatchi fait partit, a conçu un plan diabolique pour faire définitivement enragé Parandar et le reste de son panthéon reptilien : Ils ont mis enceinte des femmes humaines. Malheureusement, quand on y pense un instant, ce plan est aussi stupide, sinon plus, que celui de la prêtresse elfe qui a transformé Onyx en Blue-Onyx. Parandar se fiche des humains. C’est probablement son seul trait de caractère intéressant. Nous ne lui importons pas du tout. Il y a même une ligne au début du premier livre qui l’illustre parfaitement : « Je ne comprends pas pourquoi vous vous attachez tant à ces créatures que j’ai créées uniquement pour faire plaisir à ma femme. » Ça dit tout. Il a créer les humains pour que sa concubine cesse de s’ennuyer, voilà tout. Pourquoi diable Parandar serait-il en furie ou simplement choqué de voir des humaines enceintes d’hommes-oiseaux ? Encore pire, pourquoi le verrait-il simplement ? Il a été dit très souvent que le dieu suprême n’en apprenait sur le monde que par l’intervalle des immortels. Si les chevaliers, qui apprennent bien vite l’existence de cette machination machiavélique, ne disent rien à un immortel, alors Parandar ne l’apprendra peut-être jamais. D’ailleurs, pourquoi le fait de voir que son plus jeune frère, soit Lycaon, est allé baisé quelques-unes de ses créations dont le sort lui importe si peu l’enverrait-il dans une quelconque rage ? Ne ferait-il pas un simple « Ah ? Eh bien...Lycaon est encore vivant ? » Peut-être que la déesse de rubis, elle, aura une réaction un peu plus forte...Mais je ne vois pas vraiment pourquoi. Après tout, ce ne sont que des enfants. Tant qu’ils sont bien élevés, ils ne feront rien contre leurs parents. Mais les divinités rapaces sont déterminées que leur plan est sans faute, démontrant la même ignorance bien peu adorable que cette fameuse elfe, tous excepté pour Azcatchi et c’est bien pour ça que je l’aime. Ce dieu aux ailes noires qui s’habille en noir et qui a les cheveux noirs (Parce que le noir fait siiiiiiii peur et est siiiii original) est le seul qui a les couilles assez puissantes pour se dresser devant Lycaon et lui dire franchement « C’est un terrible plan ! Enfanté des gamins chez les humains pour écoeuré Parandar ?! C’est tellement long, détourné, incertain et inefficace ! Pourquoi ne pas juste foncé sur le panthéon des reptiles et tout brisé ?! » Il ne dit pas exactement ça, mais ça se résume réellement à ça. Parlant des oiseaux assez stupides, vous vous souvenez de ce faucon que Sage, l’ancien mari de Kira, avait trouvé, guérit et élevé ? Eh bien, en réalité, il s’agissait d’une déesse-oiseau ayant souffert d’une blessure dont l’origine reste encore dans les ténèbres et qui était si reconnaissante de l’aide de Sage qu’elle l’a sauvé de la mort, sur Irianeth, et en a fait un dieu-oiseau lui aussi. C’est là que vient la seule scène que je peux vraiment appelée bonne : Sage, maintenant connu sous le nom de Sparwari (WTF ?!) rend visite à Kira, qui le reconnaît malgré ses ailes. Là, notre héroïne mauve, malgré l’amalgame de joie et de peine que le retour de son ancienne flamme lui cause, explique à Sage qu’elle a refait sa vie et que leur relation, bien qu’elle n’en retient que des bons souvenirs, Sage, pour sa part, accepte son choix, mais lui révèle que l’un de ses fils est le sien et non celui de Lassa, ce qui veut dire que c’est vraiment grâce à Sage qu’ils apprennent l’existence du plan de Lycaon. C’est, selon moi, la seule portion du livre qui est écrit avec une compétence majestueuse et c’est dommage que Miss Robillard n’ait pas pu garder cette bucolique consistance pendant encore quelques centaines de pages.

    Je vais donc conclure avec un petit fait intéressant : Il n’y a aucune mention de la licorne et aucune mention des homosexuels dans tous le livre. Presque, et j’insiste sur le mot presque, comme si ces éléments du premier tome sont absolument inutiles et dérangeants ! Comique. Tout comme ce fut le cas avec le premier tome, je vous recommande tout de même d’acheter ce livre, puisqu’il est de loin, DE LOIN supérieur au premier tome, bien que plusieurs éléments font en sorte que l’ensemble de livre soit médiocre. 

    Maintenant, si vous m'excusez, je dois penser à quoi critiquer le moins prochain...


     ~Drace  

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  • PRIVILÈGE DE ROI


    Pour ceux qui s’attendent à une autre critique enflammée dans laquelle j’insulte une autre création de miss Robillard malgré ma présence sur un forum basé sur une de ses oeuvres, vous allez possiblement être partiellement déçu. Le livre qui fait le sujet de mes plaintes, aujourd’hui, bien que régulièrement ennuyeux et bien, bien inférieur à la moyenne des livres fantastiques n’est pas aussi mauvais que cet autre livre contenant des homosexuels et des licornes. Mon absence de haine envers ce récit vient de plusieurs raisons, à vrai dire. Privilège de Roi est le sujet de ma critique, un livre qui relate la première guerre d’Enkidiev contre Irianeth. Tout d’abord, je ne m’attendais à pratiquement rien, cette fois-ci, puisque je revenais de ma lecture des Héritiers d’Enkidiev, alors c’était déjà plutôt évident que miss Robillard avait perdu la main. Par contre, un point à noter, c’est qu’il y a un autre écrivain. Je ne suis pas certain du ratio d’écriture, mais il y a deux auteurs, comment un livre avec une telle collaboration pourrait être mauvais? Eh bien, de ce que je comprend, le livre est réellement écrit par Martial Grisé et miss Robillard n’a fait qu’agir comme...superviseur, j’imagine. 

    Considérant ce que j’ai relaté dans ma première critique, c’est probablement une bonne chose qu’elle n’ait pas créé ne serait-ce qu’une partie du livre est certainement une bonne chose. Par contre, il s’agit là du premier roman par Martial Grisé et, même si on a la supervision d’une femme expérimentée, un premier roman sera toujours vaseux. Ce point fonctionne donc pour pardonner monsieur Grisé : C’est son premier livre, alors c’est certain que ce ne sera pas excellent, ils le sont rarement. Je ne suis moi-même pas particulièrement fier de certains de mes premiers écrits, c’est une des raison pour laquelle je ne m’attendais pas à grand chose, ce qui n’était pas le cas d’Héritiers d’Enkidiev. Miss Robillard a beaucoup d’expérience et la saga des Chevaliers était excellente. C’était juste de ma part de m’attendre à quelque chose d’excellent. Un autre point qui a fait en sorte que mes attentes étaient encore plus basse le zéro est la couverture. Je sais qu’on ne devrait pas juger un livre par sa couverture, mais je n’ai pas pu me retenir, puisqu’elle est assez pathétique. Il s’agit de monsieur Grisé dans son costume d’Hadrian et devant un miroir et il y a la réflexion diabolique de lui-même mais avec une cuirasse noir, dans ledit miroir. Oh, ais-je oublier de mentionner cela? 

    Eh oui, Martial Grisé est « l’acteur » jouant Hadrian, sur le site officiel des chevaliers. Au fond, sa troupe de joyeux lurons et lui-même font du cosplay pour adulte. Je vais laisser ce fait couler dans vos esprits, un moment. Je sais ce que vous vous dites, en ce moment : « Mais voyons, Dada, espèce d’imbécile semi retardé mais pourtant très charismatique, n’as-tu jamais entendu le proverbe ‘Ne pas juger un livre par sa couverture’ qui est aussi une habile façon de dire qu’il ne faut pas se fier aux apparences des gens en général? » Eh bien si, je l’ai entendu plusieurs fois, mais je vous mentirais si je ne vous disais pas que, en général, quand la couverture est médiocre, le livre lui-même suit cette tendance. Dans le cas de Privilège de Roi, il est un peu trop évident que bien peu de temps à été mit dans la conception. On dirait quelque chose qu’un étudiant en multimédia première année aurait fait pour un projet à remettre le lendemain et dont il aurait malheureusement oublier l’existence. En bon québecois, ce genre de projet est appeler « Butcher » . Fait rapidement et généralement sans grand effort afin d’être remis à temps. Il va sans dire que c’est décevant, pour un livre de cette série, mais bon, peut-être que ce n’est pas si mauvais que ça. Peut-être que ledit proverbe s’applique réellement dans ce cas-ci. Ce serait surprenant, mais c’est possible. Eh bien, la plupart perdront espoir dès la première page, ce qui est un exploit. Il s’agit d’un journal. Ouais, un journal personnel qui relate la vie pendant la guerre d’Hadrian. Ce genre de style d’écriture peut être bon pour un court segment du livre ou bien pour une présentation sur un forum RPG, mais pour plus de deux cents pages, ça devient rapidement stupide. Vous voulez savoir pourquoi? 

     Parce que l’élément « Suspense » ne sera jamais présent. Jamais. Les combats (Pour le peu qu’il y en a) ne sont jamais racontés en temps réel, ça signifie que l’on sait toujours qu’Hadrian survivra au combat, non seulement parce que le livre continue, mais aussi parce qu’il a été mentionné dans la vraie saga des Chevaliers qu’Hadrian est mort dans son château à un âge vénérable, ce qui signifie qu’il a évidemment survécut aux affrontements. Nous savons qu’il a survécu aux affrontements et, puisque Hadrian est pas mal le seul personnage qui nous intéresse ainsi que le seul avec qui nous, lecteurs, avons une quelconque relation, dans ce livre. L’histoire elle-même va pas mal comme vous l’imagineriez : Guerre arrive, Hadrian crée les chevaliers d’Émeraude, beaucoup de batailles qu’on ne voit jamais, les chevaliers gagnent. Pas vraiment de surprises, pas vraiment d’intérêt et c’est assez triste. Pourquoi ne pas nous avoir montrer un autre visage de la guerre? Et si les dieux les avaient trompés et qu’Irianeth voulait tout d’abord faire des liens pacifiques avec Enkidiev mais que les préparations de guerre les aient effrayés et décidés à opter plutôt pour une invasion? Oh, désolé, j’ai oublier de parler de l’aspect le plus génial de ce livre. Le livre a des images. Je suis sérieux, ce roman est ‘ponctuer’ d’images, apparemment dessinées par le fils d’Hadrian, Gor. Je ne puis prétendre être moi-même doué en dessin, mais Gor aurait pu faire un effort, quand même, de surcroît, il n’y en a que cinq. S’il va y en avoir si peu, aussi bien ne pas en mettre. Mais, au final Privilège de Roi reste de loin supérieur sous tous les angles à ce certain livre qui a fait le sujet de ma première critique, mais reste terriblement mal écrit, ennuyant, inutilement long et relativement inutile. Par contre, si vous êtes un fan hardcore des chevaliers d’Émeraude, il s’agira d’un bien meilleur achat que les Héritiers d’Émeraude...Au fait, le prochain tome des Héritiers d’Émeraude sort en Septembre. Je sens une autre délicieuse critique approchée!

    ~ Drace


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    Les Héritiers d'Enkidiev -- Tome I

     (Anne Robillard)

     

    Privilège de Roi

    (Anne Robillard & Martial Grisé)

     

    Les Héritiers d'Enkidiev -- Tome II

    (Anne Robillard)

     

     


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